7 juillet, 21h30
Dans le cadre du Festival de Marseille
Unending love, or love dies, on repeat like it’s endless est une chorégraphie d’Alex Baczyński-Jenkins qui se penche sur les relations du désir, de la danse, de la fragmentation, de l’amour (en tant que communauté) et du temps. L’œuvre se développe et se déploie à travers ses différentes itérations.
À travers le geste, la sensualité, le toucher et les relations, la pratique de Baczyński-Jenkins déploie les structures et les politiques du désir. La notion de relation est présente dans les manières dialogiques dont l’œuvre est développée et performée, ainsi que dans les matériaux et la poésie qu’elle invoque. Il s’agit notamment de tracer les relations entre la sensation et la sociabilité, l’expression corporelle et l’aliénation, les textures de notre quotidien, l’histoire utopique et latente de la communauté queer. Il aborde la chorégraphie comme un moyen de réflexion sur la question des sentiments, de la perception et de l’émergence collective, tout en explorant d’autres façons d’expérimenter la mémoire, le temps et le changement.
À partir de 12 ans
19 et 20 mai, 21h30
Dancer of the Year est une réponse à sa propre sélection comme "danseur de l'année" par la prestigieuse revue Tanz en 2018. Ce prix déclenche un processus de réflexion, à la fois sur son parcours personnel et sur la valeur de la danse en tant que pratique. Les questions urgentes de la transmission culturelle reviennent dans ce solo puissamment émotionnel : l'héritage du Butoh et du chorégraphe japonais Tatsumi Hijikata sont exposés et interrogés, soulevant des questions sur les enjeux de la danse performative et de tout type d'autoportrait.
3 et 4 juin, 10h
Le bain plonge dans l’histoire de l’art en s’appuyant sur deux tableaux du 16e siècle : « Diane au bain », École de Fontainebleau, d’après François Clouet (musée des Beaux-Arts de Tours) ; et « Suzanne au bain », Le Tintoret (musée du Louvre-Lens).
Tout public, à partir de 6 ans