Voicing Pieces
PREMIÈRE EN FRANCE
Créneaux de présentation de la performances :
- 1.02.2018 | 18h > 23h30
- 3.02 | 10h > 18h30
Durée 30 min (1 personne toutes les 15 min)
Concept Begüm Erciyas | Réalisation Begüm Erciyas et Matthias Meppelink | Dramaturgie Marnix Rummens | Manipulation live Begüm Erciyas, Julia Krause, Marc Meliá | Texte Matthias Meppelink, Begüm Erciyas, Jacob Wren | Scénographie Tim Vanhentenryk, Lena Buchwald, Barbara Greiner | Collaboration artistique et traduction française Jean-Baptiste Veyret-Logerias | Production / Relations publiques Barbara Greiner
Voicing Pieces est une pièce sonore dont l’unique protagoniste est notre propre voix. À l’abri des regards, le spectateur se glisse dans une sorte de nuage noir accueillant. Seul face au texte et guidé par un simple script, il devient à la fois spectateur et acteur de cette performance bousculant nos repères. L’acte de parler et de s’écouter active une expérience théâtrale et chorégraphique unique, sculptée par chaque interprétation de la partition. Elle est le lieu de l’action, du spectacle et objet de surprises. Qui parle, quand je parle ? Ma propre voix ne me semble-t-elle pas toujours étrange et inauthentique ? Par ce procédé de distanciation et de trouble, Voicing Pieces est une invitation à découvrir et accepter l’étranger en nous-mêmes.
Production Begüm Erciyas, Platform 0090 | Coproductions wpZimmer - Antwerp, STUK – Leuven, Tanzfabrik Berlin/Tanznacht Berlin | Résidence de travail, de recherche Kunstencentrum BUDA (Kortrijk), Q-O2 Workspace for experimental music and sound art - Bruxelles, FrankfurtLAB, Tanzrecherche NRW, Goethe-Institut Villa Kamogawa | Soutien Hauptstadkulturfonds Berlin
En coréalisation avec Montévidéo, créations contemporaines - Atelier de fabrique artistique
Avec le soutien du Gouvernement flamand et du Goethe Institut
Tarif
Tarif unique 8 €
« En reste le sentiment profondément intime d’une rencontre que l’on a fait avec soi. (…) Voicing Pieces est un endroit de plaisir, un bien que l’on se fait, une parenthèse la tête dans ses nuages noirs dont on ressort transformé. »
Marie Pons - Inferno